« We r who we r », Ke$ha
Vous savez que nous sommes des superstars
Nous sommes ce que nous sommes !
C’est le temps de vivre à fond
J’en ai tellement marre d’être sérieuse
Je dis juste la vérité
La quantité n’a que peu d’importance, seule la qualité compte.
« The Path », Wolfchant
Mes doigts touchent des pierres vieilles de plusieurs millions d’années
« C’est le chemin que j’emprunterai
Ma voie choisie »
« The Kingdom Within », Echoes Of Eternity
Le royaume que nous cherchons se cache à l’intérieur
La carapace du monde n’est que superficielle, il faut trouver la force d’exploiter l’âme
« Out there », Paul Kandel
Je regarde vivre les gens d’en bas
Rien qu’un seul jour, aux pieds des tours.
Tout en bas, vivre au grand soleil,
Sans regarder le ciel,
une seule fois,
Partager leurs joies.
« Winter Winds », Edenbridge
Et l’histoire sans fin des saisons continuera
« La lumière du soleil perce sur la terre
Les fleurs aiment se balancer aux rayons du soleil
Les oiseaux au printemps saisissent un arc-en-ciel dans la nuit
Ecoute-les murmurer des arbres qu’ils aspirent à la lumière »
« Mind Like a Tree », Scorpions
« A New Turn For A New Life », Heaven We Fall
On est toujours surpris des tournures que prennent les choses, nous n’avons pas d’autre choix que de subir les imprévus de la vie, mais quelques fois, on y prend du plaisir.
Elle n’a rien quitté, elle n’a rien abandonné, elle a juste une pause à son quotidien courant, elle se répète sans arrêt, comme pour se convaincre elle-même : « C’est ta vie. Tu dois la vivre à ta propre façon »
En se lançant un défi personnel, elle essaye de montrer qu’elle veut devenir quelqu’un d’autre.
« Peur de mes rêves » ? Jamais, la décision est prise, elle est face à tout ce qu’elle a choisit.
« Maybe Tomorrow », Stereophonics
Traverser des mauvais jours, c’est fréquent, très fréquent, trop fréquent.
« Je suis déprimée et je me demande pourquoi. »
Une fois, deux fois, encore toujours, cette phrase trotte dans sa tête et n’est pas prête de s’arrêter.
Comment doit-elle le surmonter ? Elle choisit d’attendre demain, « peut-être que demain, je retrouverai le chemin de la maison ».
Elle sait que la liberté et la joie est là, elle leur tend la main, mais elles sont encore un peu trop loin pour être sienne, il faut seulement plus de temps.
« Je mens », Clarika
Pour certaines personnes, elle n’est qu’une image, qu’une forme, mais ce qui se cache en dessous est totalement différent. Chacun doit l’interpréter à sa manière…
Elle joue la sincérité avec l’un, et de l’autre, elle déclare : « Comme je respire, je mens ».
Elle sait parfaitement que ces mensonges n’ont rien de superficiels et petits, plus le temps passe, plus elle s’enfonce de ce qu’elle raconte… « La vie comme elle est, elle est tellement fade alors moi, je l’égaie avec mes salades ».
A qui ment-elle ? Au nom de qui ? Elle est capable de tout pour sauver ce qu’il lui est cher ; bien ou mal, personne ne peut répondre.
Le verbe « mentir » se construit au présent, mais à de lourde conséquence sur le passé.
« Il pleut sur Marseille » Didier Barbelivien
La pluie est vue de différentes manières selon les personnes.
Elle la voit comme une perte de sens, elle ne sait plus s’orienter, elle connaît encore le nom de sa ville et de ses monuments, mais elle ne les situe plus : » Je perds le Sud et je perds le Nord ».
Elle remet tout alors en question, quand la pluie vient frapper à sa porte. On est coincé chez soi face aux grondements du tonnerre, que fait-elle ?
Elle perds le moral, elle ne sait pas que faire, elle est seul.
Besoin de « réapprendre à vivre ».
On peut dire qu’elle se sent emprisonné, elle souhaite sortir dehors et crier qu’elle est libre. Mais la pluie joue le contraste encore la la tristesse et la liberté.